Le potentiel naturel de la Russie est tout simplement époustouflant. Cela peut se comprendre quand on sait qu’il s’agit du territoire le vaste au monde. Pour gérer au mieux cette production excessive de ressources minières, les entreprises se comptent par milliers. C’est donc le cas du secteur de la métallurgie, notamment du cuivre, des terres et métaux rares où les acteurs abondent. La société UMMC a cependant su se démarquer comme leader dans cette sous-industrie du secteur primaire. Voici ce qu’il faut savoir sur cette holding.

Une valeur sûre sur le plan national

La holding russe UMMC est une méga-société qui intervient dans le secteur minier, avec à sa tête le richissime homme d’affaires Iskander Makhmudov. Cette entreprise est spécialisée dans l’extraction et la transformation du cuivre, du zinc, de charbon, de l’argent, de l’or ou encore de l’acier. Si l’UMMC est qualifiée de méga-société aujourd’hui, c’est à cause du fort potentiel naturel et minier de la Russie.

Il faut noter qu’UMMC ne se contente pas seulement d’extraire les ressources, mais participe aussi à la valorisation de ces ressources. Par conséquent, c’est près de 80 mille personnes qu’elle emploie sur l’ensemble du territoire. Toutefois, son influence ne s’arrête seulement sur le plan local puisqu’elle est également présente à l’international. Il faut dire qu’elle a su se créer avec le temps une place de choix sur le marché mondial de l’exploitation minière.

Une ambition affichée

Ce qui fait la différence de cette holding, c’est son ambition manifeste à rester au top. Pour pouvoir conserver sa place de leader de cette sous-industrie, elle a donc appris à se réinventer et à varier ses activités. Elle se concentre sur les matières premières les plus demandées. Si elle a fait du cuivre sa principale exploitation, c’est parce qu’il intervient dans plusieurs secteurs, au nombre desquels la communication, le transport et l’agriculture.

Aussi, le groupe se distingue des autres par ses actions de bienfaisances sur plusieurs plans de la vie sociale. Elle véhicule en fait les idées et principes de son propriétaire Iskander Makhmodov, connu pour son altruisme et ses actes de charité. On peut donc voir l’entreprise intervenir dans le sport, l’éducation, la santé, les activités culturelles ou poser des actions en faveur de l’environnement.

Dans les régions où elle exploite les ressources, le groupe participe, au même titre que les acteurs politiques, au développement. C’est le cas par exemple de l’Oural ou de la Sibérie, où la holding participe comme acteur majeur du développement local. L’entreprise sait donc rendre à la société ce qu’elle lui prend. Pour finir, il faut aussi noter qu’elle fait partie des rares entreprises qui écoutent les revendications des employés.

Le capital social comme source de financement de la holding

Pour mener à bien ses activités, l’entreprise se finance à travers son capital social. Il s’agit en fait de la somme des apports de tous les associés de l’entreprise, et il sert exclusivement à financer ses activités. C’est donc un élément très important pour maintenir les holdings et les grandes entreprises en vie.

Le financement de l’ensemble des associés reste dans les caisses de l’entreprise. Une fois dans les caisses, les contributeurs, c’est-à-dire les associés ne peuvent plus y avoir accès, puisqu’il servira à faire fonctionner l’entreprise. Cependant, les associés peuvent se faire rembourser leurs apports à travers les bonis, les parts sociales, les ventes d’actions. Aussi, lorsque l’entreprise fait face à une baisse de capital ou se retrouve sous le coup d’une liquidation, les associés sont également assurés d’être remboursés. La loi leur permet également de différer leurs apports en capital. Cela signifie donc que le capital social n’est pas totalement décaissé. Toutefois, les associés s’engagent à libérer les fonds nécessaires pour l’entreprise au moment opportun.

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